jeudi 26 avril 2012

Festival TransAmériques



C: Alex Mattar




Le Festival TransAmériques, à sa 6e édition cette année, a pour but de faire découvrir à tous la représentation de l’art de notre époque à travers d’œuvres communes de chorégraphes, d’acteurs, de directeurs, et plusieurs autres. Le seul critère de participation est de présenter une œuvre qui inspire la force peu importe d’où elle vient. Ce festival est reconnu pour être multilingue et hybride, à l’image des Amériques telles qu’elles sont aujourd’hui. J’ai choisi ce sujet, car il portait surtout sur le théâtre, une forme d’art que je trouve, personnellement, passionnante. Bien sur, la création d’un tel événement implique une force de communication extraordinaire, qui passe par divers outils. Pour le Festival TransAmériques, j’ai pu observer que l’équipe de communication avait développé de très grands efforts pour offrir une visibilité sans pareil à cet événement de grande envergure. À commencer par les relations de presse / relations publiques, on peut déjà voir de gros travaux. Premièrement, selon le blogue du critique d’art anglophone Chris Hand, l’équipe du Festival à organisé une grande conférence de presse afin d’informer les médias sur les spectacles qui seront présentés tout au long du festival. Bien entendu, cette conférence de presse s’est accompagnée d’un dossier de presse pour tous les médias présents afin qu’ils puissent avoir un complément d’information face à la nouvelle qu’ils venaient de recevoir. Si on parle des relations de presse, on ne peut pas laisser de côté les relations publiques. Le Festival a, encore une fois, frappé un grand coup en accordant une entrevue avec Radio-Canada, concernant le programme du festival. Le site Internet ainsi que les médias sociaux ont une grande portée sur la visibilité de l’événement. Tout d’abord, le site Internet est extrêmement bien construit et permet d’avoir accès à la programmation, aux lieux de spectacle, aux différents films en lien avec le festival, ainsi qu’un peu de promotion des ventes, qui consiste en un pourcentage de rabais qui augmente selon la quantité de spectacles regardés. Par exemple, si l’on va voir entre 3 et 5 spectacles, on a droit à un rabais de 15 %, mais uniquement entre le 26 mars et le 6 avril. Ensuite, le mix de promotion des ventes et de médias sociaux se poursuit sur Twitter et Facebook, où l’on annonce des concours afin de gagner des billets de spectacle. Finalement, on ne peut pas passer à côté des commandites, ceux-ci sont divers et variés, passant de Hydro-Québec à Jet Films, en passant par Eska et la bière Boréale. Les commanditaires sont tous de grandes entreprises qui commanditent le festival afin de leur offrir (et de s’offrir) une plus grande visibilité et d’augmenter la notoriété de l’événement. Ces différentes informations peuvent être facilement retrouvées sur le site Internet du Festival TransAmériques, ainsi que sur les sites des différents médias auparavant cités, donc Radio-Canada ou même le blogue de monsieur Hand.
¸


Par Julie Soucy

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire